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Je deviens psychologue clinicienne en 2001, diplomée à Paris VII, après avoir soutenu un travail clinique sur l'autisme en mettant en avant la possibilité d'une cause organique.

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En 2003, j'obtiens un D.E.A. de "Médecine scientifique, psychopathologie et psychanalyse", D.E.A. dépendant de l'UFR de sciences humaines cliniques de Paris VII et de l'UFR de médecine de Necker. Mes recherches portent sur la place de la douleur dans les conduites de scarification à l'adolescence.

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J'ai alors travaillé en institution dans les champs de l'adolescence, de la parentalité, de la crise suicidaire, du traumatisme, de la violence et aussi... du virtuel.

J'ai développé en parallèle une activité de formatrice auprès de professionnels du sanitaire et du social et de l'animation de groupe : analyse de pratique auprès d'élèves infirmiers, de professionnels de la petite enfance ou groupe de parole pour pères détenus en prison.

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Mon approche a pour racines la psychanalyse, elle s'est peu à peu enrichie au contact d'autres professionnels et surtout des patients.

Elle s'est nourrie de divers courants, de diverses formations.

Aujourd'hui, si quelques mots devaient la définir, je dirais :

rencontre, accompagnement, soin, créativité...

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